Campagne de boycott contre les Etats et entreprises qui subventionnent Israël
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Campagne de boycott contre les Etats et entreprises qui subventionnent Israël
par nosrat-sunna Dim 8 Fév - 3:13
Au nom d'Allah,l'infiniment Miséricordieux, le très Miséricordieux
Louange à Dieu qui a dit :
(وَإِنِ اسْتَنصَرُوكُمْ فِي الدِّينِ فَعَلَيْكُمُ النَّصْرُ)
(Et s'ils vous demandent secours au nom de la religion, à vous alors de porter secours)
al anfal / 72
Et que la bénédiction d'Allah et sa paix soient sur son messager qui a dit :
Tu vois constamment les croyants dans leur compassion, leur amour et leur bienveillance, tel un seul corps, qui, dès que l'un de ses organe se plaint, les autres organes se mobilisent et accourent pour l'assister dans la veille et la fièvre. »
(Rapporté par al-Bokhârî)
Grace à Dieu, le forum du site dédié à la défense du prophète Muhammad (BP sur lui)www.rasoulallah.net a récemment lancé le sous-forum (Venez boycottez) qui vise à consolider la culture du boycott de tous ceux qui déclarent la guerre à l'islam et aux musulmans ainsi que ceux qui dénigrent et insultent notre prophète et bien-aimé (BP sur lui)
Le dit forum entend lancer une compagne de boycott pour activer cette arme contre les Etats et entreprises qui subventionnent Israël.
Frères et sœurs au nom de l'Islam, tendez vos mains et venez nous rejoindre pour défendre nos causes les plus pressantes, notamment celle des opprimés en Palestine auxquels Israël n'a cessé d'apporter mort et dévastation avec toute la puissance de feu de son aviation, de sa marine de guerre et de ses chars. Essayons d'alléger leurs souffrances.
Oh ! Musulmans, après avoir vu nos frères et sœurs à GAZA emprisonnés derrière les murs d'un ghetto et acculés au bord de la famine par le siege constituant ainsi les cibles faciles de bombardements aveugles, semble-t-il logique de continuer à entretenir des relations d'affaires normales avec ceux qui les assassinent ?
Semble-t-il logique de continuer à consommer leurs produits et leur fournir ainsi les fonds nécessaires pour se procurer les balles de quoi nous tuer?
Où sont passés les consciences des musulmans soucieux des souffrances de leurs frères et sœurs ? Avons-nous oublié que Dieu le tout puissant nous observe et que nous serons jugés ?
Peut être nous ne pouvons pas faire beaucoup pour mettre fin à ce siege, cependant nous pouvons au moins boycotter les entreprises qui déclarent sans remords leurs supports à Israël et leurs participations à l'armement du Tsahal et à la construction des colonies dans les terres palestiniennes occupées. Agissons au moins pour ne pas alourdir leurs souffrances.
En effet le boycott joue un rôle très important à côté de la résistance pour mettre fin à l'impunité d'Israël et le tenir pour responsable de ses actes de génocide contre les Palestiniens, il contribue à accroitre ses coûts jusqu'à ce qu'il sera amené à quitter les terres qu'il occupe. En outre il constitue une pression efficace pour contraindre le gouvernement des Etats-Unis à cesser son parrainage, son financement et sa protection des politiques d'apartheid et coloniales d'Israël contre la population Palestinienne.
N'oublions pas que les propriétaires de ces entreprises sont parmi les groupes de pression les plus importants en Amérique.
Lien du site dédié au soutien du prophète (BP sur lui ) :
www.rasoulallah.net
Lien du forum dédié au soutien du prophète (BP sur lui ) :
http://montada.rasoulallah.net/index.php?act=idx
Lien du sous-forum (Venez boycotter) :
http://montada.rasoulallah.net/index.php?showforum=105
Louange à Dieu qui a dit :
(وَإِنِ اسْتَنصَرُوكُمْ فِي الدِّينِ فَعَلَيْكُمُ النَّصْرُ)
(Et s'ils vous demandent secours au nom de la religion, à vous alors de porter secours)
al anfal / 72
Et que la bénédiction d'Allah et sa paix soient sur son messager qui a dit :
Tu vois constamment les croyants dans leur compassion, leur amour et leur bienveillance, tel un seul corps, qui, dès que l'un de ses organe se plaint, les autres organes se mobilisent et accourent pour l'assister dans la veille et la fièvre. »
(Rapporté par al-Bokhârî)
Grace à Dieu, le forum du site dédié à la défense du prophète Muhammad (BP sur lui)www.rasoulallah.net a récemment lancé le sous-forum (Venez boycottez) qui vise à consolider la culture du boycott de tous ceux qui déclarent la guerre à l'islam et aux musulmans ainsi que ceux qui dénigrent et insultent notre prophète et bien-aimé (BP sur lui)
Le dit forum entend lancer une compagne de boycott pour activer cette arme contre les Etats et entreprises qui subventionnent Israël.
Frères et sœurs au nom de l'Islam, tendez vos mains et venez nous rejoindre pour défendre nos causes les plus pressantes, notamment celle des opprimés en Palestine auxquels Israël n'a cessé d'apporter mort et dévastation avec toute la puissance de feu de son aviation, de sa marine de guerre et de ses chars. Essayons d'alléger leurs souffrances.
Oh ! Musulmans, après avoir vu nos frères et sœurs à GAZA emprisonnés derrière les murs d'un ghetto et acculés au bord de la famine par le siege constituant ainsi les cibles faciles de bombardements aveugles, semble-t-il logique de continuer à entretenir des relations d'affaires normales avec ceux qui les assassinent ?
Semble-t-il logique de continuer à consommer leurs produits et leur fournir ainsi les fonds nécessaires pour se procurer les balles de quoi nous tuer?
Où sont passés les consciences des musulmans soucieux des souffrances de leurs frères et sœurs ? Avons-nous oublié que Dieu le tout puissant nous observe et que nous serons jugés ?
Peut être nous ne pouvons pas faire beaucoup pour mettre fin à ce siege, cependant nous pouvons au moins boycotter les entreprises qui déclarent sans remords leurs supports à Israël et leurs participations à l'armement du Tsahal et à la construction des colonies dans les terres palestiniennes occupées. Agissons au moins pour ne pas alourdir leurs souffrances.
En effet le boycott joue un rôle très important à côté de la résistance pour mettre fin à l'impunité d'Israël et le tenir pour responsable de ses actes de génocide contre les Palestiniens, il contribue à accroitre ses coûts jusqu'à ce qu'il sera amené à quitter les terres qu'il occupe. En outre il constitue une pression efficace pour contraindre le gouvernement des Etats-Unis à cesser son parrainage, son financement et sa protection des politiques d'apartheid et coloniales d'Israël contre la population Palestinienne.
N'oublions pas que les propriétaires de ces entreprises sont parmi les groupes de pression les plus importants en Amérique.
Lien du site dédié au soutien du prophète (BP sur lui ) :
www.rasoulallah.net
Lien du forum dédié au soutien du prophète (BP sur lui ) :
http://montada.rasoulallah.net/index.php?act=idx
Lien du sous-forum (Venez boycotter) :
http://montada.rasoulallah.net/index.php?showforum=105
nosrat-sunna- Messages : 13
Date d'inscription : 19/01/2009
Le boycott...une arme puissante!
par nosrat-sunna Dim 8 Fév - 3:37
Certes, certains d'entre vous se posent la question suivante :
Si nous prenons la peine de boycottez allons nous porter atteinte aux intérêts de sociétés multinationales ?
Analysons logiquement les choses ; on est environ un milliard et 300 millions de musulmans, répartis sur environ 60pays. Imaginons si uniquement 500000 personnes de chaque pays boycottent, on aura 30 millions de personnes qui boycottent.
Allons plus loin et imaginons que la famille de chaque personne convaincue de l'utilité du boycott comporte en moyenne 5membres, on peut facilement imaginer qu'un chef de famille convaincu arrivera sans peine à convaincre toute sa famille, on aura en définitif 150 millions de personnes qui boycottent. ça sera une véritable perte économique inévitable pour ces sociétés
Encore plus, s'il arrive à convaincre son ami, son cousin et son collègue … le nombre va croitre et par conséquent les pertes supportées par ces entreprises vont augmenter.
Les faits prouvent que les campagnes de boycott qui ont été précédemment lancées ont impacté considérablement aussi bien l'économie américaine que sioniste. A deux reprises, la société Coca-Cola a organisé une réunion de l'assemblée générale extraordinaire pour se prononcer sur la poursuite de son activité en Egypte ou son abandon. Coca-Cola l'amie fidèle d'Israël, établie en Egypte depuis 30 ans, n'a prononcé une telle déclaration, qu'en Février 2003 (après la courageuse Intifada Palestinienne) et en Juin 2006 (suite à l'agression israélienne du Liban) . Les tentatives de Coca-Cola pour contourner le boycott par tous les moyens ont échoué.
En Janvier 2003 McDonald's, elle aussi, a déclaré la fermeture de 675 restaurants après avoir réalisé des pertes de 343,8 millions de dollars comparativement à un bénéfice qui a atteint 271,9 millions de dollars pour la même période en 2002. Les analystes financiers ont expliqué cette perte par le boycott du monde islamique, ils ont exclu toute autre cause puisque les habitudes alimentaires des américains n'ont pas variés.
Vous avez encore des doutes quant à notre faculté de faire subir des pertes réelles à ces sociétés?
Citons d'autres exemples pour vous aider à vous débarrasser des résidus de la défaite psychologique :
NIKE, entreprise de renommée internationale, très reconnue par son appui au sionisme, en écrivant le nom de la Majesté sur ses chaussures, a déclenché une vague de protestation de la part des musulmans, ils ont menacé de boycotter ses produits.
Quelles étaient donc les réactions de la société face à ces menaces sachant que les musulmans en Amérique sont de l'ordre de 8 millions uniquement et non pas plus qu'un milliard ?
1) Excuses publiées dans plusieurs journaux américains
2)retrait du marché de la totalité de cette production tout en sacrifiant les pertes énormes encourues.
3)des dons généreux accordés aux centres islamiques
Cela prouve que le boycott est insignifiant ? à vous de décider!
nosrat-sunna- Messages : 13
Date d'inscription : 19/01/2009
Le boycott...Une obligation?
par nosrat-sunna Dim 8 Fév - 3:42
Reste à dire qu'en l'absence de la possibilité du Djihad, le boycott est devenu, dans l'avis de nombreux et prestigieux savants musulmans, une obligation et pas seulement une action souhaitable.
Le boycott constitue également une superbe éducation spirituelle permettant de se libérer de nos étroits désirs égoïstes et de faire primer ainsi les intérêts de notre Oumma sur nos propres intérêts.
Oh ! Musulmans gravons dans nos mémoires et dans nos cœurs les images insoutenables d'enfants déchiquetés et de femmes abattues par les sionistes.
Rappelons-nous toujours de cet ennemi barbare qui tend une main pour nous vendre et cache l'autre pour nous tuer.
Menteurs sont ceux qui veulent nous faire croire que la vie n'aura plus de sens sans ces produits sionistes
Rappelons-nous toujours du jour du Jugement et espérons que notre privation de choses insignifiantes dans notre vie sera largement récompensée dans la vie de l'au delà.
Le boycott est un minime sacrifice face aux souffrances des Palestiniens massacrés au vu et au su du monde et qui nous en supplient pour les secourir
Frères et sœurs au nom de l'Islam , notez bien qu'il ne s'agit pas d'un appel visant à limiter nos soutiens des Palestiniens au boycott et laissez-nous vous rappeler toujours que comme les Juifs du monde entier essaient de soutenir Israël par tous les moyens , chaque Musulman est tenu de soutenir l'issue Palestinienne et de lutter contre Israël de biens et de corps dans la mesure du possible jusqu'à ce que nous libérions Al-Masdjid Al-Aqsa des mains des sionistes .Boycotter, sera donc la moindre des actions à entreprendre.
nosrat-sunna- Messages : 13
Date d'inscription : 19/01/2009
Re: Campagne de boycott contre les Etats et entreprises qui subventionnent Israël
par nosrat-sunna Lun 9 Fév - 23:05
Ce lien contient une liste des produits dont les fabricants supportent "Israël":
http://www.inminds.co.uk/boycott-israel.html
http://www.inminds.co.uk/boycott-israel.html
nosrat-sunna- Messages : 13
Date d'inscription : 19/01/2009
Re: Campagne de boycott contre les Etats et entreprises qui subventionnent Israël
par nosrat-sunna Lun 9 Fév - 23:27
Le temps de boycotter Israël est venu, par Naomi Klein
Il est temps. Cela a trop duré. La meilleure stratégie pour faire cesser cette occupation de plus en plus sanglante est qu’Israël devienne la cible de ce type de mouvement mondial qui a fait mis fin à l’apartheid en Afrique du Sud. En juillet 2005, une énorme coalition de groupes palestiniens a dressé les plans pour faire exactement cela. Ils ont appelé les « gens de conscience, partout dans le monde, à imposer des boycotts étendus et à mettre en place des initiatives de désinvestissement contre Israël, similaires à ceux appliqués contre l’Afrique du Sud à l’époque de l’apartheid ». La campagne [BDS] - Boycott, Désinvestissement et Sanctions - était née.
Chaque jour où Israël pilonne Gaza fait venir plus de convertis vers la cause du BDS - même parmi les Juifs israéliens. En plein milieu de cette attaque, environ 500 Israéliens, parmi eux des douzaines d’artistes et d’universitaires célèbres, ont envoyé une lettre aux ambassadeurs étrangers en Israël. Celle-ci demande « l’adoption de mesures restrictives et de sanctions immédiates » et tire un parallèle clair avec la lutte anti-apartheid. « Le boycott de l’Afrique du Sud a été efficace, mais on prend des gants avec Israël… Ce soutien international doit cesser. »
Pourtant, même face à ces appels clairs, non nombre d’entre nous ne peuvent toujours pas y répondre. Les raisons sont complexes, émotionnelles et compréhensibles. Mais elles ne sont tout simplement pas assez bonnes. Les sanctions économiques représentent l’arme la plus efficace de l’arsenal de la non-violence : y renoncer frise la complicité active. Voici les quatre principales objections à la stratégie BDS, suivies des contre-arguments.
Plutôt que de les persuader, des mesures punitives aliéneront les Israéliens
Le monde a essayé ce que l’on a appelé « l’engagement constructif ». Il a complètement échoué. Depuis 2006, Israël a constamment intensifié ses actions criminelles : expansion des colonies, lancement d’une guerre scandaleuse contre le Liban et imposition d’une punition collective contre Gaza au moyen de ce blocus brutal. En dépit de cette escalade, Israël n’a pas fait l’objet de mesures punitives - c’est plutôt le contraire qui s’est produit. Les armes et les 3 milliards de dollars annuels d’aide que les Etats-Unis envoient à Israël ne sont que le début. Pendant toute cette période-clé, Israël a bénéficié d’une amélioration considérable de ses relations diplomatiques, culturelles et commerciales avec toute une variété d’autres alliés. Par exemple, en 2007, Israël est devenu le premier pays non latino-américain à signer un accord de libre échange avec le bloc du Mercosur. Au cours des neuf premiers mois de 2008, les exportations israéliennes vers le Canada ont augmenté de 45%. Un nouvel accord avec l’UE doit permettre de doubler les exportations israéliennes d’aliments en conserve. Et en décembre, les ministres européens « ont revalorisé » l’accord de partenariat entre l’UE et Israël, une récompense attendue depuis longtemps par Jérusalem.
C’est dans ce contexte que les dirigeants israéliens ont commencé leur dernière guerre : confiants qu’ils ne seraient confrontés à aucun coût significatif. Il est remarquable que pendant plus de sept journées boursières en temps de guerre, l’index de la Bourse de Tel Aviv soit monté effectivement de 10,7%. Lorsque la carotte ne marche pas, le bâton est nécessaire.
Israël n’est pas l’Afrique du Sud
Evidemment ! La pertinence du modèle sud-africain réside dans le fait qu’il prouve que la tactique du BDS peut être efficace lorsque des mesures plus faibles (manifestations, pétitions, lobbying en coulisse) ont échoué. Et il y a des relents profondément affligeants d’apartheid dans les territoires occupés : cartes d’identité munies d’un code de couleur et permis de déplacement, maisons rasées au bulldozer et déplacements forcés, routes réservées aux colons. Ronnie Kasrils, un homme politique sud-africain de premier plan, a dit que l’architecture de la ségrégation qu’il a vue en Cisjordanie et à Gaza était « infiniment pire que l’apartheid ». C’était en 2007, avant qu’Israël ne commence sa guerre totale contre la prison à ciel ouvert qu’est Gaza.
Pourquoi prendre Israël pour cible lorsque les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et d’autres pays occidentaux font la même chose en Irak et en Afghanistan ? Le boycott n’est pas un dogme, c’est une tactique. La raison pour laquelle cette stratégie devrait être essayée est pratique : dans un pays aussi petit et qui dépend autant du commerce, il pourrait vraiment marcher.
Les boycotts rompent la communication ; nous avons besoin de plus de dialogue, pas de moins de dialogue
Je répondrai à cette objection par une histoire personnelle. Pendant huit ans, mes livres ont été publiés en Israël par une société d’édition qui s’appelle Babel. Mais lorsque j’ai publié « La stratégie du choc : La montée d’un capitalisme du désastre », je voulais respecter le boycott. Sur les conseils de militants du BDS, dont le merveilleux écrivain John Berger, j’ai contacté un petit éditeur, Andalus. Celui-ci est une maison d’édition militante, très impliquée dans le mouvement contre l’occupation et c’est le seul éditeur israélien qui se consacre exclusivement à traduire en hébreu les écrits de langue arabe. Nous avons rédigé un contrat garantissant que toutes les recettes iraient au travail d’Andalus et que je ne toucherai rien. Je boycotte l’économie israélienne, pas les Israéliens.
Notre modeste plan d’édition nécessitait des douzaines d’appels téléphoniques, de courriels et de messages instantanés, s’étendant de Tel Aviv, Ramallah, Paris, Toronto et la ville de Gaza. Ma remarque est la suivante : dès que vous commencez une stratégie de boycott, le dialogue s’accroît de façon considérable. L’argument selon lequel les boycotts nous couperont les uns des autres est particulièrement trompeur étant donné la gamme de technologies de l’information à notre disposition. Nous croulons sous les moyens de nous invectiver par-dessus les frontières nationales. Aucun boycott ne peut nous arrêter.
Les Israéliens sont numéro un mondial en info-technique, ils ne seront pas facile à boycotter
En ce moment même, beaucoup de sionistes orgueilleux se préparent à marquer un point essentiel : ne suis-je pas au courant que beaucoup de ces joujoux de très haute technologie proviennent des parcs de recherche israéliens, numéro un mondial en info-technique ? C’est assez vrai, mais ils ne sont pas les seuls. Plusieurs jours après le début de l’attaque de Gaza par Israël, Richard Ramsey, le gérant d’une entreprise britannique de télécom spécialisée en services vocaux sur internet a envoyé un courriel à la firme technologique israélienne MobileMax : « En conséquence de l’action du gouvernement israélien ces derniers jours, nous ne serons plus en position d’envisager de faire des affaires avec vous ou toute autre société israélienne. »
Ramsey dit que sa décision n’était pas politique ; il ne voulait tout simplement pas perdre des clients. « Nous ne pouvons nous permettre de perdre le moindre client », explique-t-il, « c’était donc purement défensif sur le plan commercial. »
Ce fut cette sorte de calcul froid qui conduisit de nombreuses entreprises à se retirer d’Afrique du Sud, il y a vingt ans. Et c’est précisément ce type de calcul qui représente notre espoir le plus réaliste d’apporter la justice, si longtemps refusée, en Palestine.
Il est temps. Cela a trop duré. La meilleure stratégie pour faire cesser cette occupation de plus en plus sanglante est qu’Israël devienne la cible de ce type de mouvement mondial qui a fait mis fin à l’apartheid en Afrique du Sud. En juillet 2005, une énorme coalition de groupes palestiniens a dressé les plans pour faire exactement cela. Ils ont appelé les « gens de conscience, partout dans le monde, à imposer des boycotts étendus et à mettre en place des initiatives de désinvestissement contre Israël, similaires à ceux appliqués contre l’Afrique du Sud à l’époque de l’apartheid ». La campagne [BDS] - Boycott, Désinvestissement et Sanctions - était née.
Chaque jour où Israël pilonne Gaza fait venir plus de convertis vers la cause du BDS - même parmi les Juifs israéliens. En plein milieu de cette attaque, environ 500 Israéliens, parmi eux des douzaines d’artistes et d’universitaires célèbres, ont envoyé une lettre aux ambassadeurs étrangers en Israël. Celle-ci demande « l’adoption de mesures restrictives et de sanctions immédiates » et tire un parallèle clair avec la lutte anti-apartheid. « Le boycott de l’Afrique du Sud a été efficace, mais on prend des gants avec Israël… Ce soutien international doit cesser. »
Pourtant, même face à ces appels clairs, non nombre d’entre nous ne peuvent toujours pas y répondre. Les raisons sont complexes, émotionnelles et compréhensibles. Mais elles ne sont tout simplement pas assez bonnes. Les sanctions économiques représentent l’arme la plus efficace de l’arsenal de la non-violence : y renoncer frise la complicité active. Voici les quatre principales objections à la stratégie BDS, suivies des contre-arguments.
Plutôt que de les persuader, des mesures punitives aliéneront les Israéliens
Le monde a essayé ce que l’on a appelé « l’engagement constructif ». Il a complètement échoué. Depuis 2006, Israël a constamment intensifié ses actions criminelles : expansion des colonies, lancement d’une guerre scandaleuse contre le Liban et imposition d’une punition collective contre Gaza au moyen de ce blocus brutal. En dépit de cette escalade, Israël n’a pas fait l’objet de mesures punitives - c’est plutôt le contraire qui s’est produit. Les armes et les 3 milliards de dollars annuels d’aide que les Etats-Unis envoient à Israël ne sont que le début. Pendant toute cette période-clé, Israël a bénéficié d’une amélioration considérable de ses relations diplomatiques, culturelles et commerciales avec toute une variété d’autres alliés. Par exemple, en 2007, Israël est devenu le premier pays non latino-américain à signer un accord de libre échange avec le bloc du Mercosur. Au cours des neuf premiers mois de 2008, les exportations israéliennes vers le Canada ont augmenté de 45%. Un nouvel accord avec l’UE doit permettre de doubler les exportations israéliennes d’aliments en conserve. Et en décembre, les ministres européens « ont revalorisé » l’accord de partenariat entre l’UE et Israël, une récompense attendue depuis longtemps par Jérusalem.
C’est dans ce contexte que les dirigeants israéliens ont commencé leur dernière guerre : confiants qu’ils ne seraient confrontés à aucun coût significatif. Il est remarquable que pendant plus de sept journées boursières en temps de guerre, l’index de la Bourse de Tel Aviv soit monté effectivement de 10,7%. Lorsque la carotte ne marche pas, le bâton est nécessaire.
Israël n’est pas l’Afrique du Sud
Evidemment ! La pertinence du modèle sud-africain réside dans le fait qu’il prouve que la tactique du BDS peut être efficace lorsque des mesures plus faibles (manifestations, pétitions, lobbying en coulisse) ont échoué. Et il y a des relents profondément affligeants d’apartheid dans les territoires occupés : cartes d’identité munies d’un code de couleur et permis de déplacement, maisons rasées au bulldozer et déplacements forcés, routes réservées aux colons. Ronnie Kasrils, un homme politique sud-africain de premier plan, a dit que l’architecture de la ségrégation qu’il a vue en Cisjordanie et à Gaza était « infiniment pire que l’apartheid ». C’était en 2007, avant qu’Israël ne commence sa guerre totale contre la prison à ciel ouvert qu’est Gaza.
Pourquoi prendre Israël pour cible lorsque les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et d’autres pays occidentaux font la même chose en Irak et en Afghanistan ? Le boycott n’est pas un dogme, c’est une tactique. La raison pour laquelle cette stratégie devrait être essayée est pratique : dans un pays aussi petit et qui dépend autant du commerce, il pourrait vraiment marcher.
Les boycotts rompent la communication ; nous avons besoin de plus de dialogue, pas de moins de dialogue
Je répondrai à cette objection par une histoire personnelle. Pendant huit ans, mes livres ont été publiés en Israël par une société d’édition qui s’appelle Babel. Mais lorsque j’ai publié « La stratégie du choc : La montée d’un capitalisme du désastre », je voulais respecter le boycott. Sur les conseils de militants du BDS, dont le merveilleux écrivain John Berger, j’ai contacté un petit éditeur, Andalus. Celui-ci est une maison d’édition militante, très impliquée dans le mouvement contre l’occupation et c’est le seul éditeur israélien qui se consacre exclusivement à traduire en hébreu les écrits de langue arabe. Nous avons rédigé un contrat garantissant que toutes les recettes iraient au travail d’Andalus et que je ne toucherai rien. Je boycotte l’économie israélienne, pas les Israéliens.
Notre modeste plan d’édition nécessitait des douzaines d’appels téléphoniques, de courriels et de messages instantanés, s’étendant de Tel Aviv, Ramallah, Paris, Toronto et la ville de Gaza. Ma remarque est la suivante : dès que vous commencez une stratégie de boycott, le dialogue s’accroît de façon considérable. L’argument selon lequel les boycotts nous couperont les uns des autres est particulièrement trompeur étant donné la gamme de technologies de l’information à notre disposition. Nous croulons sous les moyens de nous invectiver par-dessus les frontières nationales. Aucun boycott ne peut nous arrêter.
Les Israéliens sont numéro un mondial en info-technique, ils ne seront pas facile à boycotter
En ce moment même, beaucoup de sionistes orgueilleux se préparent à marquer un point essentiel : ne suis-je pas au courant que beaucoup de ces joujoux de très haute technologie proviennent des parcs de recherche israéliens, numéro un mondial en info-technique ? C’est assez vrai, mais ils ne sont pas les seuls. Plusieurs jours après le début de l’attaque de Gaza par Israël, Richard Ramsey, le gérant d’une entreprise britannique de télécom spécialisée en services vocaux sur internet a envoyé un courriel à la firme technologique israélienne MobileMax : « En conséquence de l’action du gouvernement israélien ces derniers jours, nous ne serons plus en position d’envisager de faire des affaires avec vous ou toute autre société israélienne. »
Ramsey dit que sa décision n’était pas politique ; il ne voulait tout simplement pas perdre des clients. « Nous ne pouvons nous permettre de perdre le moindre client », explique-t-il, « c’était donc purement défensif sur le plan commercial. »
Ce fut cette sorte de calcul froid qui conduisit de nombreuses entreprises à se retirer d’Afrique du Sud, il y a vingt ans. Et c’est précisément ce type de calcul qui représente notre espoir le plus réaliste d’apporter la justice, si longtemps refusée, en Palestine.
nosrat-sunna- Messages : 13
Date d'inscription : 19/01/2009
Le Boycott est un pilier parmi les piliers du Jihad
par nosrat-sunna Dim 22 Fév - 0:19
Paroles dites par son Eminence Ashaikh: Abd-Rahman ben Naçer ben Sa'diy
Tout soutien aux Moudjahidins financièrement fait parti du Jihad .. Celui qui a équipé un combattant a combattu, et celui qui s'est occupé de sa famille de la meilleure façon a combattu, et Allah fera entrer au Paradis par les actes d'une de ces trois personnes: un fabricant (d'armes) qui cherche par-là l'au-delà, celui qui soutient les Moudjahidins et celui qui appelle au Jihad.
Et parmi le plus grand des Jihad et le plus bénéfique, l'effort dans la libéralisation des économies musulmanes et pour leur enrichissement concernant surtout leurs besoins de première nécessité et complémentaire, et pour augmenter leurs profits et leurs commerces ainsi que l'emploi et le travail. Comme celui qui soutient (financièrement) le Jihad, or sa forme la plus importante est le boycott des ennemis dans les ressources pour l'exportation et l'importation, donc sont interdites les importations et les commerces (avec eux).
Et nous ne devons pas leur ouvrir les marchés des musulmans et nous ne devons rien leur importer vers les pays musulmans .. Mais il leur suffit aux musulmans les bienfaits de leurs pays, et ce sont eux qui ont besoin de ce qui leur est nécessaire des pays musulmans.
De même on ne doit rien leur offrir des richesses des pays musulmans et de leurs marchandises, en particulier ce qui pourrait renforcer les ennemis: comme le PETROLE, et c'est en lui que se précise spécifiquement l'interdiction d'exportation vers eux (les ennemis) .. Et comment peuvent-ils importer des pays musulmans ce qui leur fournit l'aide nécessaire afin de les combattre (les pays musulmans) !?? Certes l'ouverture des portes pour l'envahisseur est une très grande affliction et interdire ceci fait parti des plus grands Jihad et son bénéfice est énorme.
Et ce qu'on entend par le fait que le boycott des ennemis, économique et commercial et professionel et autres, est un pilier monumental parmi les piliers du Jihad qui contient les plus grands bienfaits, est qu'il est un Jihad pour la paix et un Jihad pour la guerre
nosrat-sunna- Messages : 13
Date d'inscription : 19/01/2009
Le Boycott est un pilier parmi les piliers du Jihad
par nosrat-sunna Dim 22 Fév - 0:38
Paroles dites par son Eminence Ashaikh: Salman Ibn Fahd El Awdah
il est improbable que le boycott officiel reprenne de sa vigueur face à la mondialisation économique, qui a pour but de supprimer les frontières commerciales entre les états et en vertu duquel, aucun état ne peut servir ses intérêts nationaux .
Par contre, le boycott réalisé par le peuple, lui, peut porter ses fruits si les peuples musulmans prennent conscience de son importance et que le consommateur choisisse les produits, des sociétés arabes et musulmanes ou bien n'importe quel autre produit qui ne soit ni américain, ni israélien.
Personne ne peut contraindre le simple citoyen à acheter un produit bien défini, ou soutenir une société bien définie ou mettre en vente les produits de telle marque.
Entre 1993 et 1996, l'administration américaine a utilisé 60 fois l'arme du boycott économique à l'encontre de 35 pays, parfois avec des preuves faibles à l'appui, servant ses intérêts politiques. Dans son livre Les sanctions économiques et diplomatiques américaines, Richard Hass, révèle des informations intéressantes sur l'intérêt des sanctions et de leurs conséquences.
Pourquoi donc les Musulmans hésitent-ils à utiliser l'arme du boycott afin de produire quelques effets et afin que le Musulman prenne conscience au moins de son rôle à jouer, qui est peut-être limité mais à sa portée.
Le boycott fait partie de la désapprobation par le coeur ou par les actes ; il est facile à réaliser ; l'individu ne perd rien ; il suffit qu'il choisisse des produits arabes ou islamiques ou japonais ou même européens si le besoin se ressent.
Dans l'histoire de Thamama Ibn Athal, chef de la tribu des Béni Houneifa, la décision fut prise qu'aucun épis de blé ne parvienne au polythéistes de la Mecque, jusqu'à ce que le Messager d'Allah (pbsl) lève l'interdiction. (Al Boukhari 4024 et Muslim 003310). Le Prophète permit que leur soit approvisionné des grains après qu'ils se soient plaint à lui de la disette et de la famine.
Cet événement prouve non seulement la légitimité de l'utilisation de cette méthode mais également que l'Islam a fait preuve d'un grand humanisme et qu'il a gouverné le monde avec cette esprit pendant un laps de temps.
Afin que le boycott porte ses fruits, il faut :
*que le peuple prenne conscience du devoir de boycott, de telle sorte que cette idée ne soit pas partagée uniquement par une élite particulière et que la masse soit écartée. Cette responsabilité incombe à tous : les jeunes et les moins jeunes, le lettré et le marchand de légumes. Le boycott ne sera réel que si la prise de conscience englobe tout le monde.
*Il est important de remarquer que les opinions de nos émérites savants (fatawas) appuient le boycott. C'est une bonne chose que les assemblées doctrinales , les organisations scientifiques, les comités des opinions des savants (fatawas) dans le monde islamique participent, et ce, afin que les gens comprennent que le boycott est une exigence religieuse et une nécessité nationale.
*procéder par étapes car aux yeux de la masse, il est illusoire de se passer de tous ces produits ; la masse s'attache vite au confort et à l'aisance et est influencée par les avis qui vont dans le sens contraire. Il faut concentrer ses efforts dans les points suivant :
a- boycotter les sociétés et les produits sionistes, particulièrement dans les pays qui entretiennent des liens économiques avec Israël et dans les pays non musulmans.
b- boycotter les sociétés américaines soutenant l'entité sioniste ou sympathisantes avec les Sionistes, particulièrement les grandes sociétés auxquelles on peut trouver des substituts, comme dans le secteur de l'automobile, de l'alimentation, du prêt à porter, du mobilier, du cosmétique, dans le secteur de la banque, des médias, de la technologie..
il est improbable que le boycott officiel reprenne de sa vigueur face à la mondialisation économique, qui a pour but de supprimer les frontières commerciales entre les états et en vertu duquel, aucun état ne peut servir ses intérêts nationaux .
Par contre, le boycott réalisé par le peuple, lui, peut porter ses fruits si les peuples musulmans prennent conscience de son importance et que le consommateur choisisse les produits, des sociétés arabes et musulmanes ou bien n'importe quel autre produit qui ne soit ni américain, ni israélien.
Personne ne peut contraindre le simple citoyen à acheter un produit bien défini, ou soutenir une société bien définie ou mettre en vente les produits de telle marque.
Entre 1993 et 1996, l'administration américaine a utilisé 60 fois l'arme du boycott économique à l'encontre de 35 pays, parfois avec des preuves faibles à l'appui, servant ses intérêts politiques. Dans son livre Les sanctions économiques et diplomatiques américaines, Richard Hass, révèle des informations intéressantes sur l'intérêt des sanctions et de leurs conséquences.
Pourquoi donc les Musulmans hésitent-ils à utiliser l'arme du boycott afin de produire quelques effets et afin que le Musulman prenne conscience au moins de son rôle à jouer, qui est peut-être limité mais à sa portée.
Le boycott fait partie de la désapprobation par le coeur ou par les actes ; il est facile à réaliser ; l'individu ne perd rien ; il suffit qu'il choisisse des produits arabes ou islamiques ou japonais ou même européens si le besoin se ressent.
Dans l'histoire de Thamama Ibn Athal, chef de la tribu des Béni Houneifa, la décision fut prise qu'aucun épis de blé ne parvienne au polythéistes de la Mecque, jusqu'à ce que le Messager d'Allah (pbsl) lève l'interdiction. (Al Boukhari 4024 et Muslim 003310). Le Prophète permit que leur soit approvisionné des grains après qu'ils se soient plaint à lui de la disette et de la famine.
Cet événement prouve non seulement la légitimité de l'utilisation de cette méthode mais également que l'Islam a fait preuve d'un grand humanisme et qu'il a gouverné le monde avec cette esprit pendant un laps de temps.
Afin que le boycott porte ses fruits, il faut :
*que le peuple prenne conscience du devoir de boycott, de telle sorte que cette idée ne soit pas partagée uniquement par une élite particulière et que la masse soit écartée. Cette responsabilité incombe à tous : les jeunes et les moins jeunes, le lettré et le marchand de légumes. Le boycott ne sera réel que si la prise de conscience englobe tout le monde.
*Il est important de remarquer que les opinions de nos émérites savants (fatawas) appuient le boycott. C'est une bonne chose que les assemblées doctrinales , les organisations scientifiques, les comités des opinions des savants (fatawas) dans le monde islamique participent, et ce, afin que les gens comprennent que le boycott est une exigence religieuse et une nécessité nationale.
*procéder par étapes car aux yeux de la masse, il est illusoire de se passer de tous ces produits ; la masse s'attache vite au confort et à l'aisance et est influencée par les avis qui vont dans le sens contraire. Il faut concentrer ses efforts dans les points suivant :
a- boycotter les sociétés et les produits sionistes, particulièrement dans les pays qui entretiennent des liens économiques avec Israël et dans les pays non musulmans.
b- boycotter les sociétés américaines soutenant l'entité sioniste ou sympathisantes avec les Sionistes, particulièrement les grandes sociétés auxquelles on peut trouver des substituts, comme dans le secteur de l'automobile, de l'alimentation, du prêt à porter, du mobilier, du cosmétique, dans le secteur de la banque, des médias, de la technologie..
nosrat-sunna- Messages : 13
Date d'inscription : 19/01/2009
Le Boycott est un pilier parmi les piliers du Jihad
par nosrat-sunna Dim 22 Fév - 0:55
Paroles dites par son Eminence Ashaikh: Youssouf El Quardaoui
Nous voilà aujourd’hui face à nos frères et nos enfants en Palestine, la terre bénie de Dieu, qui font généreusement don de leur sang et sacrifient leurs vies sans retenue. Nous nous devons, où que nous soyons, de leur apporter toute l’aide que nous pouvons. Dieu exalté soit-Il, dit :
« Et s’ils[vos frères] demandent votre soutien, vous vous devez de le leur apporter. Al anfal 76.
Il dit aussi :
« Entraidez-vous dans l’accomplissement des bonnes oeuvres et de la piété » La table 2.
Parmi les moyens de cette aide, il y a le boycott total des marchandises produites par l’ennemi. Chaque pièce de monnaie dépensée pour s’offrir un produit de l’ennemi ne manquera pas de se transformer, en fin de parcours, en balles qui se logeront dans les poitrines de nos frères et nos enfants en Palestine.
Par conséquent, il est de notre devoir de ne pas aider nos ennemis en achetant leurs marchandises, car ce sera les aider à accomplir leurs méfaits et perpétrer leurs exactions. Commercer avec eux, cela les renforce, alors qu’il est de notre devoir de les affaiblir tant que possible, au même titre qu’il nous faut aider nos frères qui se trouvent en première ligne dans la Terre Sainte par tous les moyens qui sont en notre pouvoir. Si cela s’avère impossible, nous devons oeuvrer pour l’affaiblissement de l’ennemi. Si ce devoir ne s’accomplit que par le boycott, alors celui-ci devient un devoir, selon la règle du fiqh islamique : Ce qui est indispensable pour l’accomplissement d’un devoir est un devoir.
En cela, les marchandises américaines et les marchandises israéliennes doivent subir le même traitement. Car les Etats Unis d’Amérique constituent de nos jours le deuxième Israël. Sans leur soutien inconditionnel et leur parti pris pour l’état sioniste, celui-ci n’aurait jamais pu continuer impunément à agresser les habitants de la région. Si, aujourd’hui, cet état se pavane avec tant d’insolence et de provocation, c’est grâce à l’argent, aux armes et au veto américains.
Conformément à l’injonction divine faite aux musulmans de lutter par tous les moyens contre leur ennemi, le milliard trois cent millions de musulmans à travers le monde sont à même de mettre à mal les Etats Unis d’Amérique en boycottant leurs marchandises.
Tout musulman qui achète des produits israéliens ou américains alors qu’il peut se procurer ceux provenant d’autres pays, commet par ce geste un acte haram et notoirement répréhensible, qui lui vaudra la désapprobation auprès de Dieu et l’humiliation auprès des hommes.
Les arabes et les musulmans, où qu’ils soient, doivent boycotter les entreprises pro-sionistes et pro-Israéliennes de quels que pays que ce soient.
Le boycott des marchandises est une arme à la portée des peuples et aucun gouvernement ne peut les obliger à acheter telle ou telle marchandise. Utilisons la contre nos ennemis et ceux de notre foi, afin qu’ils sachent que nous sommes encore vivants et que cette Umma est loin d’avoir rendu l’âme, et cela n’arrivera jamais par la grâce de Dieu.
Si pour le consommateur, l’achat des marchandises israélienne et américaines constitue un acte haram et un péché, la réalisation de bénéfices en écoulant ces marchandises par la revente ou la concession l’est encore plus, même si ces marchandises se cachent derrières de fausses appellations pour dissimuler leur provenance
Nous voilà aujourd’hui face à nos frères et nos enfants en Palestine, la terre bénie de Dieu, qui font généreusement don de leur sang et sacrifient leurs vies sans retenue. Nous nous devons, où que nous soyons, de leur apporter toute l’aide que nous pouvons. Dieu exalté soit-Il, dit :
« Et s’ils[vos frères] demandent votre soutien, vous vous devez de le leur apporter. Al anfal 76.
Il dit aussi :
« Entraidez-vous dans l’accomplissement des bonnes oeuvres et de la piété » La table 2.
Parmi les moyens de cette aide, il y a le boycott total des marchandises produites par l’ennemi. Chaque pièce de monnaie dépensée pour s’offrir un produit de l’ennemi ne manquera pas de se transformer, en fin de parcours, en balles qui se logeront dans les poitrines de nos frères et nos enfants en Palestine.
Par conséquent, il est de notre devoir de ne pas aider nos ennemis en achetant leurs marchandises, car ce sera les aider à accomplir leurs méfaits et perpétrer leurs exactions. Commercer avec eux, cela les renforce, alors qu’il est de notre devoir de les affaiblir tant que possible, au même titre qu’il nous faut aider nos frères qui se trouvent en première ligne dans la Terre Sainte par tous les moyens qui sont en notre pouvoir. Si cela s’avère impossible, nous devons oeuvrer pour l’affaiblissement de l’ennemi. Si ce devoir ne s’accomplit que par le boycott, alors celui-ci devient un devoir, selon la règle du fiqh islamique : Ce qui est indispensable pour l’accomplissement d’un devoir est un devoir.
En cela, les marchandises américaines et les marchandises israéliennes doivent subir le même traitement. Car les Etats Unis d’Amérique constituent de nos jours le deuxième Israël. Sans leur soutien inconditionnel et leur parti pris pour l’état sioniste, celui-ci n’aurait jamais pu continuer impunément à agresser les habitants de la région. Si, aujourd’hui, cet état se pavane avec tant d’insolence et de provocation, c’est grâce à l’argent, aux armes et au veto américains.
Conformément à l’injonction divine faite aux musulmans de lutter par tous les moyens contre leur ennemi, le milliard trois cent millions de musulmans à travers le monde sont à même de mettre à mal les Etats Unis d’Amérique en boycottant leurs marchandises.
Tout musulman qui achète des produits israéliens ou américains alors qu’il peut se procurer ceux provenant d’autres pays, commet par ce geste un acte haram et notoirement répréhensible, qui lui vaudra la désapprobation auprès de Dieu et l’humiliation auprès des hommes.
Les arabes et les musulmans, où qu’ils soient, doivent boycotter les entreprises pro-sionistes et pro-Israéliennes de quels que pays que ce soient.
Le boycott des marchandises est une arme à la portée des peuples et aucun gouvernement ne peut les obliger à acheter telle ou telle marchandise. Utilisons la contre nos ennemis et ceux de notre foi, afin qu’ils sachent que nous sommes encore vivants et que cette Umma est loin d’avoir rendu l’âme, et cela n’arrivera jamais par la grâce de Dieu.
Si pour le consommateur, l’achat des marchandises israélienne et américaines constitue un acte haram et un péché, la réalisation de bénéfices en écoulant ces marchandises par la revente ou la concession l’est encore plus, même si ces marchandises se cachent derrières de fausses appellations pour dissimuler leur provenance
nosrat-sunna- Messages : 13
Date d'inscription : 19/01/2009
Re: Campagne de boycott contre les Etats et entreprises qui subventionnent Israël
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